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De Vous À Moi...

  • : Mélimélo des sens ou le plaisir des mots
  • : Ce blog né sans but précis, si ce n'est le plaisir de m'ouvrir à vous, ami lecteur. De l'envie de partager tout le fourbi qui gravite dans ma tête, de l'oppression de certains actes choquants ou bouleversants, de ma nécessité de donner, mais aussi de cette capacité à formuler mes abnégations et mes interactions sociales ou mentales, je vais me livrer à vous. Je vous offre mes écrits, mon coeur et mes mots. N'hésitez pas à me laisser vos impressions ou juste un bonjour en passant... Amitié Laure.
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Infos Auteure :

Dédicaces 2013 : Planing construction A paraitre 2013 : Premier livre jeunesse « Matin Chagrin » Deuxième roman « Plus ne m’est rien sans toi »

Mon premier roman

PAR'ANGE 

 

par'ange

Ma première nouvelle publiée

"Un instant pour disparaitre"

dans le recueil de textes

"Pourtant elle tourne!"

paru aux éditions du Roure

 

pourtant%20elle%20tourne

19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 12:08

Bonjour les z’amis,

 

Depuis un certain temps, je n’ai pas posté de défi sur la communauté "l’érotisme en mots" tout simplement car j’avais des petits soucis de logistique personnelle et que de ce fait, j’ai été plutôt bien accaparée par ma vie :)

Maintenant que c’est à peut près résolu (à peu près je dis bien hi hi hi) et que je vais surtout avoir quelques jours pour poser tout ça, je vous propose pour la fin octobre un thème super simple. Avec un peu plus de temps que d’habitude pour le réaliser puisque je pense que c’est nécessaire à tout le monde y compris à moi looooooooool

Le thème est : ‘Halloween’

Ou, comment capturer un peu d’érotisme en ce bas monde alors que notre finitude est omniprésente dans nos esprits.

Je sais que Claire a déjà un texte pour moi mais je vous demande de bien vouloir participer et de mettre sur vos blogs photos, textes, dessins et/ou tout autre composition se rapportant à ce souffle d’érotisme qui nous fait temps de bien. Y compris entre citrouilles et cadavres exquis :))))

Je vous souhaite à tous plein de bonnes choses à venir pour les jours à venir. Bisous. Laure.

 

 

Lire la prose de Claire : http://claire-de-la-chatlys.over-blog.com/article-texte-erotique-halloween-87160339.html

 

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19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 11:49

L'âne au fond du puits

Une jolie histoire à méditer.

Un très beau texte, une belle leçon de vie. !!!!

 

Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits.

L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures, et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et le puits devait disparaître de toute façon, ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne.

Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider.

Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer l'âne dans le puits.

Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier terriblement.

Puis à la stupéfaction de chacun, il s'est tu.

Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu'il a vu.

Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l'âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.

Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l'animal, il se secouait et montait dessus.

Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puits et se mit à trotter!'

 

La vie va essayer de t'engloutir de toutes sortes d'ordures.

Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.

 

Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de progresser.

Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais.

Il ne faut jamais abandonner!

Secoue-toi et fonce!

Rappelle-toi, les cinq règles simples ! À ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres.

 

Pour être heureux / heureuse :

 

1. Libère ton cœur de la haine.

2. Libère ton esprit des inquiétudes.

3. Vis simplement.

4. Donne plus.

5. Attends moins.

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13 octobre 2011 4 13 /10 /octobre /2011 18:01

Il y a quelques temps, j’ai commencé une partie référencée sur mon blog par le mot métier ou comment la perception d’un métier agit sur soit et l’autre. Intrinsèquement, j’essaye par l’écriture et l’écoute de ces brides de vies qui croisent mon chemin de définir tel ou tel point fort mais aussi tel ou tel point faible du dit métier qui pourrait convenir à certains mais pas à d’autres.
Dans le métier d’assistante de vie, j’ai mis l’accent sur les risques de se perdre quand l’autre (l’employeur ou le dépendant) a un pouvoir de soumission sur l’employé. Force m’est de constater aujourd’hui que cet état de fait est encore pire avec une personne certes en situation de handicap mais aussi en complexe de supériorité qui se caractérise par une perversion directe et incessante de l’autre.

Du langage pour rabaisser et asservir. De l’écrit pour se plaindre de faits mensongers et fabulés. Mais aussi d’actes répréhensibles en un harcèlement digne de Molière si on y jette un regard plus lointain.

N’ayant pas la prétention de tout savoir, je tenais cependant à faire un rajout à ce texte suite aux agissements d’une personne malhonnête et délirante qui elle, dans son état de supériorité, a tout le savoir du monde.

Etat pathologique ? Souffrance névrotique ?

Je ne sais pas encore :) car je commence juste mes études de psychologie qui (si madame) peuvent se faire à distance ! C’est d’ailleurs pour ça que le SED existe et que les universités ont mis au point un système d’examens terminaux (résultante d’un travail universitaire à la convenance).

En espérant que mon babillage ne vous a pas énervé, je m’en retourne à mon TD sur le concept de la mythomanie dont cette personne ferait un très beau spécimen d’étude lol

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6 octobre 2011 4 06 /10 /octobre /2011 19:34

« Vivant de mots et de chiffres. De responsabilité et de polyvalence. De relationnel et de savoir faire, la ou le secrétaire comptable est sérieux. Dynamique. Responsable. Joyeux ? Bah faut peut être pas pousser pour certains :)

Mais pourquoi choisir de rester cloitrer dans un bureau ? Pourquoi vivre de paperasserie ? De bilan. De tenue de compte. De planning. De comptes rendu. De téléphone et p’t être même bien de mailing ? Pour se sentir important ou juste pour le fait de travailler ?

Je ne sais pas pour les autres mais moi, perso, à chacun de mes emplois en secrétariat ou secrétariat comptable caractérisé surtout dans le publique ; ce que j’ai aimé c’est me sentir utile. Monter un dossier. Accueillir les gens. Renseigner. Dépatouiller les tracas d’un patron débordé. Sortir d’une mouise deux commerciaux. Expliquer. Prendre soin et équilibrer tout ça. Oui car en fait contrairement à ce que beaucoup de gens pensent du ou de la secrétaire. Anciennement relégué au rang de miss du balai pour certain, il ou elle est très important(e) dans une société. Elle est le lien entre tous. La chef des deniers perdus. Des notes de frais inacceptables. Des remises de formes. Tout quoi et perso j’adore :)

Bon ok, y’a aussi le coté sois sage. Mais bon ça n’empêche pas d’avoir une vie à coté super agréable que d’être une tronche comme disent certains lol »

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6 octobre 2011 4 06 /10 /octobre /2011 18:55

« De la nécessité d’être pour l’autre une aide. L’extension de son bras malade. La prolongation de son corps abimé. La continuité de sa vie par son service. L’homme ou la femme qui se destine à ce métier de part son humilité et sa facilité à courber l’échine pour le bien être d’un ou d’une autre, accepte de n’être plus lui. Pendant quelques heures, pour n’être qu’un outil. Une servitude passagère pour accomplir des taches simples et varier. En un mot : « aider ».
Aider à la toilette. Aider au ménage. Aider aux repas. Aider à la vie tout simplement quand faire tomber une feuille de papier devient très compliqué voir impossible à gérer pour l’autre. Quand se coucher est insurmontable. Intolérable presque quand son propre cops lui fait défaut…

Dans son état d’ « humain » l’homme ou la femme aidant a un pouvoir mais aussi une fragilité en quoi il lui sera bon de faire attention. Mais pas seulement pour l’autre, pour lui aussi.

Il lui faudra se méfier de ne pas se perdre. De ne pas se diminuer. De ne pas considérablement se rabaisser dans une servitude trop lourde et néfaste…

Dans le respect de la tolérance et la valorisation de la vie. Dans le sens où chaque vie est importante. Il convient à travers ce métier de reconnaitre les qualités des aidants. Mais aussi de nos semblables qui ont eu moins de chance que soit dans l’accomplissement de leurs vies. En un sourire. Une parole réconfortante mais aussi en actes gratuits. Non paramétrables dans une notion de travail encore trop rigide de nos jours… »

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30 septembre 2011 5 30 /09 /septembre /2011 18:13

Un maître de l'Orient voyant un scorpion se noyer, décida de le tirer de l'eau. Lorsqu'il le fit, le scorpion le piqua. Par l'effet de la douleur, le maître lâcha l'animal qui de nouveau tomba À l'eau en train de se noyer. Le maître tenta de le tirer à nouveau et l'animal le piqua encore.

Quelqu'un qui était en train d'observer se rapprocha du maître et lui dit :

- Excusez-moi, mais vous êtes têtu! Ne comprenez vous pas qu’à chaque fois que vous tenterez de le tirer de l'eau, il va vous piquer ?

Le maître répondit :

- La nature du scorpion est de piquer, et cela ne va pas changer la mienne qui est d'aider.

Alors, à l'aide d'une feuille, le maître tira le scorpion de l'eau et sauva sa vie et continua :

- Ne change pas ta nature si quelqu'un te fait mal, prends juste des précautions. Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent. Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille raisons pour sourire. Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation. Parce que ta conscience est ce que tu es, et ta réputation c'est ce que les autres pensent de toi...Et ce que les autres pensent de toi...c'est leur problème.

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 19:03

« La robe maculée de blancs et de papillons nacrés met sa beauté en valeur. Le voile ne la cache pas. Il l’embellit. Tout est parfait. Sa coiffure. Son maquillage. Ses escarpins. Et même l’anneau qu’elle a choisi pour ce jour magique. Elle est sereine. Belle. Magnifique. La musique l’entraine. Doucement. Un tempo de chaines. Un son atroce de résignation. Une force de bagnat. Une souffrance de pécheresse emprisonnée. Pourquoi ces pensées ? Pourquoi son cœur se serre ? Pourquoi ses pas s’alourdissent ? Pourquoi son esprit vacille ? Troublé par son mal. Troublé par son image floue. Troublé par sa voix perdue. Persécuté par la douceur de ses mains oubliées. Il ressurgit. L’empêche de faire de ce jour un aboutissement de sa vie de femme. Il est là. Comment a-t-il su ? Comment peut-il ravager encore son cœur alors qu’elle se promet à un autre ? Comment ose-t-il réapparaitre ? Bouleverser sa vie. Anéantir son avenir. Encore. Dans le flou de son absolution, elle s’évanouit. A mi chemin entre l’autel et la sortie de secours. Elle meurt une seconde fois. Elle meurt d’amour. Quatre ans pour rien. Son sacerdoce est revenu. Sa soumission. A lui. A jamais… Stupide. Femme. Entière. Amoureuse. Elle sombre dans cet amour impossible qui l’attire vers le fond. Encore. Mais si tout n’était que fourberie ? Et s’il lui suffisait de le tuer pour qu’elle renaisse ? S’il suffisait de le haïr pour vivre ? L’insulter ? Le détester ? Tout raisonner. Et s’évader. – Calme toi ma mie, raisonna dans son crâne pour la dernière dois, ses simples mots d’amour tant espérés… » 

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 18:55

Mini de ma nouvelle en cours sur le thème : "La recette était fatale"

 

« Une pincée de torpeur acidulée. Trois larmes de Grenouille. Un zest de citron dans un marre de café. Deux pincées d’andouille séchée. Une ritournelle en rimes farfelues. Un cœur de femme bafouée et une lame de griffe de loup. Tournez. Infusez. Macérez. Et le tour est joué. Bon ok, elle avait fait un peu trop bruler la mixture mais sa rancœur était telle qu’il n’y avait aucun doute que ça fonctionne ! En magnifique aguicheuse, elle était prête pour leur dernier acte. Le plus déchirant. Le plus émouvant. Le plus diabolique. Leurs adieux. Lingerie fine et bas, jupe et petit haut, talons de 8cm et cœur à dix mille, elle l’attendait. Impatiente. Angoissée. L’acte final de leur amour allait se jouer. Il était à elle. De ses mains caressant la mixture sur son torse, elle écouta leurs cœurs s’accélérer quand ils firent une dernière fois l’amour. Le produit entrait dans son corps. Bouchait leurs artères et les emportaient dans le trépas. Jamais plus ils ne seraient séparés… Quelle douce ironie de mourir d’amour dans les bras de celle qu’il avait prévu de demander en mariage… »

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 12:31

Un jour, une fille est née. Son père ne l’appréciait pas à sa juste valeur car il aurait voulu un garçon. Plus les jours passèrent, plus il commença à l'aimer. De plus en plus fort. Pour lui, sa fille devient la plus belle chose qu'il n'ait jamais eue sur terre.
À ses 8 ans, la petite fille demanda à son père : "Papa, que vas-tu m'offrir quand je serais grande ?" ; son père lui répondit " Le plus beau cadeau du monde que l'on puisse faire à son enfant ! Mais pour l'instant, tu es encore trop jeune. "
À 13 ans, elle tomba malade. De jour en jour, sa maladie empira. À l’aube de ses 15 ans, son état empira, emportant les dernières forces de son cœur. Le père, la voyant de plus en plus faible et ne voulut plus la voir autant souffrir, partit.
Quelques mois plus tard, lorsque l’adolescente sortit de l'hôpital avec une forme énorme et un nouveau cœur, elle rentra chez elle. Voyant sa mère en larmes, elle demanda ce qui lui arrivait. Sa mère lui tendit une lettre, qu’elle s'empressa de lire…

"Ma très chère fille,

lorsque tu liras cette lettre, je ne ferais plus parti de ce monde.

Il y a longtemps déjà, je t'ai promis le plus beau cadeau

qu'un père peut faire à sa fille...

Et bien voilà, en toi, tu as cette part de moi, ce cœur solide et fort,

qui saura t’aider à faire face à tous les obstacles que la vie mettra sur ta route.

Je te donne mon bien le plus précieux après toi, ma vie entière…

J'espère que tu en prendras soin et que personne ne détruira tes espoirs et tes rêves.

Profite de tout au maximum ma chérie,

Je t'aime,

Papa. "

♥ ♥ ♥

 

Auteur anonyme...

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27 septembre 2011 2 27 /09 /septembre /2011 14:24
« T'as grandi au cours des années 50, 60, 70, 80 ? Comment as-tu pu survivre??
Les voitures n'avaient ni ceintures de sécurité, ni appuie tête, ni airbag, ni GPS...
Sur le siège arrière on se marrait, on dormait, on discutait avec les parents posés entre les deux sièges et ce n'était pas dangereux …
Les lits à barreaux et les jouets étaient multicolores ou au minimum peints avec des laques « douteuses » contenant plomb ou autre poison...
Il n'y avait pas de sécurité enfants sur les portes de voitures, ni sur les prises de courant, encore moins sur les médicaments ou autres nettoyants chimiques domestiques. Les parents les planquaient, c'est tout...
Il n'y avait pas de casque pour faire du vélo...
On buvait à même le tuyau d'arrosage et pas des eaux minérales en bouteilles dites « stériles » ...
On osait aller jouer, fallait juste rentrer à la maison avant la nuit, il n'y avait pas de portables, et personne ne savait ou on trainait!!
Éraflures, bras cassés, dents brisés, coudes écorchés, personne ne se serait plaint, ou allait déposer plainte contre la mairie ou autre, personne n'avait tord si ce n'était nous-mêmes. Si on croisait quelqu'un de plus âgé, on utilisait des mots qui ne doivent plus être dans le dictionnaire, puisqu'on ne les utilise plus, bonjour, merci, s'il vous plait...
On avalait des sucreries, du pain beurré avec du chocolat, des boissons riches en sucre, on ne parlait pas d'obésité et nous étions actifs; on se partageait à quatre une limonade au goulot, nul n'en est mort...
Pas de Playstation, Nintendo 64, Facebook, Twitter, Home Cinéma, WiFi, ADSL, triple play, iPod, TV 150 chaines, Portable, Ordinateur, Tchat sur Internet…
Seulement des copains !!!
A pied ou à vélo, on allait chez les copains, même s‘ils habitaient à des kms, on entrait sans frapper, et on allait faire les c...
On jouait au foot avec une seule cage et si on perdait, pas de frustration, ni de "fin du monde".
Il y avait bien des élèves un peu “retardés“ qui redoublaient. BAAHH… Personne n‘allait chez le psychologue ou psychopédagogue. On ne parlait pas de dyslexie, de problèmes de concentration ou d‘hyperactifs, on redoublait simplement l‘année et chacun avait sa chance. Nous avions : Libertés, Rêves, Succès, Devoirs, et on apprenait à faire avec…
On ne parlait pas sans cesse de droit car nous savions qu'il y avait avant tout des devoirs...
La seule vraie question est : Comment avons-nous fait pour survivre ???
Et avant tout : Comment avons-nous pu développer notre personnalité ???
Es-tu, toi aussi, issu de cette génération?
Si oui, alors partage notre voix à tous tes amis contemporains et aussi à tes enfants, neveux et nièces afin que tous sachent comment c‘était de notre temps !!!
Ils répondront certainement que c‘était ennuyeux mais, qu‘est-ce qu‘on se marrait bien !!! Hein ??? »
J’adore :) Merci à son auteur inconnu…
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