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De Vous À Moi...

  • : Mélimélo des sens ou le plaisir des mots
  • : Ce blog né sans but précis, si ce n'est le plaisir de m'ouvrir à vous, ami lecteur. De l'envie de partager tout le fourbi qui gravite dans ma tête, de l'oppression de certains actes choquants ou bouleversants, de ma nécessité de donner, mais aussi de cette capacité à formuler mes abnégations et mes interactions sociales ou mentales, je vais me livrer à vous. Je vous offre mes écrits, mon coeur et mes mots. N'hésitez pas à me laisser vos impressions ou juste un bonjour en passant... Amitié Laure.
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Infos Auteure :

Dédicaces 2013 : Planing construction A paraitre 2013 : Premier livre jeunesse « Matin Chagrin » Deuxième roman « Plus ne m’est rien sans toi »

Mon premier roman

PAR'ANGE 

 

par'ange

Ma première nouvelle publiée

"Un instant pour disparaitre"

dans le recueil de textes

"Pourtant elle tourne!"

paru aux éditions du Roure

 

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5 juillet 2011 2 05 /07 /juillet /2011 17:19

« Les sons emportent ses songes. Glissent sa mélancolie dans le méandre de son âme. Pose un je ne sais quoi de torpeur et de doute dans son cœur. Torturant sa raison. Massacrant ses ondes positives. Jouant avec son amertume et ses peurs. Inlassable. Insidieusement pour mieux la terrasser et l’emmener loin d’elle. Là où personne ne veut aller à part tous les défunts qui n’ont pas eu le choix…

Calquant son incertitude sur cette appréhension de l’avenir qui la rend morose. Le mauvais. Le rebuté. Le banni. Celui que l’on chasse et qui nous rattrape quand on ne s’y attend pas, elle s’emprisonne. Dans leurs morts. Leurs absences. Leurs présages. Leurs significations. Leurs incidences sur sa vie…

Incapable de chasser sa mélancolie, elle relate tout. En pensées. En chimères silencieuses car ils ne sont qu’à elle. À jamais en elle… comme une marque inscrite au fer rouge dans sa chair en quelques syllabes essentielles : Profite pendant que tu le peux…

Mais alors pourquoi eux n’ont pas pu ? Pourquoi eux ont du arrêter d’aimer ? De danser. De rire. De s’embrasser… Parce que c’est inscrit ? Parce que c’était l’heure ? Parce qu’ils n’ont pas eu le choix ?

N’importe quoi !

Massacrant ses touches et sa patience. Elle leur adresse des baisers. À ces petits anges. Ces étoiles du passé qui à jamais ne la quitte… et fond de désarroi sur sa page blanche de douceur et de compassion…»

 

Mille baisers petits anges, chères amies et famille perdue… Tendres pensées. Laure.

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8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 16:25

«  Dans ton désarroi mon cœur se perd. Impuissante, je subis ton agonie. Je me tue dans tes soupirs. Ton incapacité à respirer correctement. Ta douleur à boire simplement. Ta souffrance à tenir sur tes pattes et cette infinie tristesse qui émane de ton incompréhension sur ton sort. Ô ma douceur. Mon bijou. Mon trésor. Ma beauté féline qui dans un regard me rend si bien comme je suis triste de te voir lutter contre ce poison. Comme je suis mal de sentir ta blessure jusque dans mon ventre. La colère m’habite depuis hier. L’envie de crier. De hurler. De me venger. De la détruire. Cet inhumaine qui a osé nous trahir. Cet anti-animal de compagnie qui a essayé de te t’anéantir. Mais, je me calme. Tu es ma priorité. Je te veille. Comme un bébé. Une part de mon âme. J’aimerais tellement te soulager plus… que je défaille et m’endors près de toi. Écoutant tes soupirs. Pour enfin me réjouir de longues heures plus tard de ces petites améliorations qui me présage un doux avenir… ensemble ! »

 

Petit texte dédié à une amie et à Dahlia. Bisous. Laure.

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5 février 2011 6 05 /02 /février /2011 06:11

« Le cauchemar l’a poussé vers le bas. Les doutes sont revenus. Son absence la tiraille. Elle est fragile. Vulnérable au point qu’un rien sans lui prend des proportions dingues. Pourquoi a-t-il fallu qu’elle s’emporte ? Pourquoi a-t-elle cédé à cette impulsivité du savoir pour être mieux ? Pourquoi ne peut-elle tout simplement être comme tous ces stéréotypes féminins qui vivent sans doutes. Sans envies. Sans passions? Parce que sinon elle ne serait pas elle ? Parce que sinon il ne l’aurait pas choisit ? Mais alors pourquoi renier maintenant ce qu’elle est et inévitablement ce qui lui a plu chez elle ?

Grrr… fichu sommeil qui ne veut pas revenir et lui qui lui manque trop… Elle va finir par déprimer si ça continu! Pense-t-elle en se retournant encore une fois sous les couvertures.

Les yeux fermés. Le corps en positions serrée. Les moins jointes pour ne pas le chercher, elle est repartie dans ses songes. Au rythme de sa danse. Au son de ses gémissement, il ne doit pas être sympa. Torturant même… Décidément, le sort s’acharne, elle n’y arrivera pas cette nuit… sans lui. »

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 11:18

« Un téléphone jeté sur la banquette. Le compteur à 170. Le cœur en rage. Les yeux vitreux de par la douleur de son âme, elle court. Escalade les escaliers en furie. Rejoint le hall puis la chambre. Une pièce de trois mètres sur quatre sinistrement vide où un petit corps meurtri l’attend. Drapé sommairement. Caché à la vue des autres. Une enfant de trois ans. Défenestrée. Sa fille…

Cachant ses larmes, elle s’approche du lit. Laissant sa rage à la porte. Ignorant le personnel soignant qui a voulu l’empêcher d’entrer. Occultant le fautif. Dénigrant celui qui l’aime, elle avance jusqu’au lit avec un sourire d’outre tombe. Celui qu’elle lui tend tous les matins. Celui qu’elles s’échangent au gouter. S’attendant presque à la voire rire, elle regarde ses yeux. Obligeant son regard à bannir les bandages, le sang séché sur ses vêtements, sa mâchoire déformée, les os brisés de sa puce qu’elle adore…

Agenouillée en une prière de supplice, la maman caresse la main de ce qu’elle a de plus cher. Recueillant un dernier ‘’mama’’ en un soupire de mort. Et quand elle s’éteint inévitablement un hurlement rauque envahit le premier étage de l’hôpital. La vengeance dans tout son être prend le dessus pour anéantir le responsable de toutes ses peurs devenues réalité. »

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12 décembre 2010 7 12 /12 /décembre /2010 14:38

« Le réveil encore embêté par ses songes. Machinale, elle se prépare. Se douche alors que les mots raisonnent dans son crane. S’habille. Ses mains agissent sans que son cerveau n’ait besoin de les commander. Les heures pourraient filer qu’elle agirait encore et encore. Un robot d’habitudes dont rien ne retient. Ni sensation. Ni joie. Ni envie. Juste une douleur qui emprisonne son esprit. Une immense douleur qui fait fuir sa raison au milieu de tous ceux qui sont là et qui disent l’aimer. Elle voudrait les croire. Elle voudrait pouvoir les entendre. Mais son esprit refuse d’écouter. D’accepter que la vie continue. D’accepter qu’autre chose pourrait la rendre heureuse. Depuis trop de temps, elle survit. Elle avance parmi eux. Elle fait comme eux. Se lève. Se mélange. Parle. Fait semblant. Mais à quoi bon encore ? Son corps gère la différence du mieux qu’il peut. Tantôt boulimique tantôt anorexique mais toujours elle. Y’a qu’elle en fait. Son choix a toujours été de vivre pour lui. Fusionnels, il était sa raison de vie. Sa force. Mais depuis cette nuit de malheur, elle est seule parmi vous. Seule dans sa vie. Seule dans son cœur. Seule à le chercher encore et encore…

Ressassant les mots, l’écrivain ressent la douleur. Argumente de sa souffrance. Ne cherche plus de solution. Il est d’accord avec la finalité de son héroïne. Non pas d’accord sur ce qui va se faire mais il a compris que sa finalité, son choix est inévitable même si jamais, il ne veut le subir. Jamais il ne veut que ça arrive car il sait ce que sera la finalité. L’horrible et pourtant si douce fin de son amie…

Perdue sur son clavier, elle tapote les mots, la femme, l’amie, la maman refuse l’échéance. Réfute l’implication. Mais la conversation l’a séchée. Eprouvée. Bloquée sur la vérité de ses nuits troublées. Celle qui lui fait mal. L’obligeant à accepter que l’on ne peu plus vivre quand on souffre trop. Cette échéance qui vient de la peine. Prouvant que le malheur ne brise trop souvent pas qu’une seule vie…

Allongée sur la tombe de son fils perdue depuis des années de survie sans nom, elle regarde le vide. Lui parle. Le rassure comme quand il était petit. Ecoute les murmures des feuilles qui lui renvoient les mots imaginaires de son enfant martyr qu’on a osé lui arracher. Refusant de se battre, elle a pris soin de vérifier que personne n’est là. Elle a envoyé ceux qui comptent sur de fausses pistes pour ne pas qu’on la cherche. Elle a ajusté la dose pour enfin être en harmonie avec celui qu’elle aime plus que tout. Repoussant la fiole, elle succombe. Aucune larme sur son visage. Aucun rictus de douleur. C’est un sourire en un énorme soulagement qui l’habite enfin…

Râlant sur cette fin horrible qui s’est écrite si naturellement. S’énervant sur ce qui est. S’offusquant sur ce qui sera. Maugréant sur ce qu’elle a prévu de faire. Ce que tous pensent qu’elle fera, l’écrivain crache sur la dernière page. La gribouille nerveusement. La chiffonne. Pour la jetter nerveusement dans la corbeille à papier. Mais il ne peut oublier que jamais l’histoire ne pourra être réécrite. Tant pis. Ou trop tard…

Pendant que l’amie pleure. Ne sait plus quoi faire. Soupire et s’endort comme tous les autres. Epuisés, impuissants et souffrants de ne pas lui avoir assez dit leur amour. Se révoltant contre l’assassin. Se martelant de ne pas être des magiciens et de ne jamais pouvoir rendre leurs anges à ces parents trop abimés par le malheur… Un râle remonte de son cœur vers le ciel…

Pardon mon amie, de n’être qu’une humaine avec toutes mes faiblesses de corps et d’esprit qui ne peuvent te redonner le goût de vivre. Je te comprends mais je refuse tes choix… Je t’aime. »

 

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1 août 2010 7 01 /08 /août /2010 20:38

« Perdue dans sa tête. Egarée dans son cœur. Ses yeux sont figés. Vides de cette lueur de joie qui la caractérisait avant. Vide de cet espoir espiègle qui faisait qu’elle croyait en la vie. En l’avenir. En eux. Mais pas en elle. Non là, elle n’y arrive plus. Un poids au ventre. Un poids au cœur. Une emprise sur sa respiration. Des larmes qui coulent toutes seules. Elle regarde le plafond sans le voir. Allongée sur son lit, elle revisite sa vie. Son enfance. Ses douleurs passées. Sa vie de femme. Ses peines. Elle n’arrive pas à voir après cette nuit. Demain. Ni après demain...

Depuis déjà longtemps, elle vit au jour le jour. Mais, ce soir, ça aurait été bien si un avenir se présentait à elle. Car, là, tout de suite, au lieu d’être avec elle sur son lit, son esprit est partit loin, très loin. Au dehors de sa maison. Au dehors de sa région. Très très loin…

Posé en haut du viaduc de Millau, une ombre est prête pour faire le grand saut. S’évader. Tout claquer. S’apaiser. Suicidaire ? Non, elle ne l’est pas. Mais, là, tout de suite, elle cherche la paix. Y’en a pas dans son corps. Y’en a pas dans sa maison. Y’en a pas dans sa famille. Alors elle a envie de la créer. De se l’obliger. Il le faut, pour pas qu’elle se perdre. Délaissant son enveloppe charnelle, elle suit le vent. Suit les courbes de ses jolies montagnes. Suis les voitures. Vêtue de sa nuisette, elle se laisse porter par le souffle de sa recherche. Ses pas guident son esprit d’années en années… Elle a 6 ans. Elle a 14 ans. Elle en a 17. Elle en a 22. Elle en a 29. Elle en a 36 et c’est la fin… Elle revit l’abandon. La mort. La peine. La souffrance. Sa mort. Sa vie qui s’écroule. Ses idées ne sont plus gaies. Son cœur saigne de toutes ces vérités qu’elle vient d’apprendre. De toute cette terreur qu’elle doit affronter. Comment s’en sortir ? Aura-t-elle assez de force pour ça ? Y arrivera-t-elle ? Bercée par le vide, elle n’est pas effrayée. Le saut ne lui a demandé aucune réflexion. Aucune peur. Aucune appréhension. Aucun doute. Juste un soulagement. Un soupir de plénitude. Par étape, elle se confond avec ces adultes qui l’ont délaissé. Analyse sa colère. Elle se révolte contre ces morts qui la hantent. Rejette leurs croyances. Elle combat les maladies qui ont affaiblis son apparence. Cri contre le destin. Puis, doucement, elle se tait. Ne dit plus rien. Elle y est presque. Elle accepte tout. Assimile tout. Le mensonge. Le mépris. L’agression. Le viol. Et sa rage. Oui, cette rage qui bat en elle et l’empêche d’être bien. Sereine avec elle-même. En phase avec les autres.

Sur le sol, 250 mètres plus bas, une marre de sang aurait fait tache dans le décor féerique de la vallée. Une folle en nuisette écrabouillée par la chute. Sa vie. Sa torture. Personne n’aurait su pourquoi car ça ne se dit pas. Personne n’aurait comprit car elle ne dit jamais rien. Sourit. Fait semblant. Ne laisse rien paraitre. Et s’oubli. Toujours… Comment aurait-elle pu leur dire qu’elle n’était pas heureuse ? Comment aurait-elle pu expliquer son aveuglement ? Sa perdition. Son abnégation. Cette perversion qui l’a rongé depuis tant d’années, et dont elle ne se souvient même plus si on lui a permis d'y résister un jour...

Le pouls battant la chamade. Les joues transpirantes. Les tempes à tout rompre. Elle ferme les yeux. Mais ne dors pas. Elle a l’air calme. Mais ne l’est pas. Personne ne sait ce qu’elle a. Personne n’est là pour le voir de toute façon. Alors, elle se laisse aller. Absorbe sa décadence. Accuse sa malédiction pour finalement sombrer des heures durant dans un tourment d’un noir sans fond… »

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26 juillet 2010 1 26 /07 /juillet /2010 19:05

« 25 Juillet 2010. 2 ans de vide. 730 Jours de douleurs. Un nombre infini d’heures de manque démentielles. Il nous a laissé. Non. Il nous l’a pris. Il a crée cette plaie dans nos cœurs. Cette crevasse dans son corps. Cette torpeur dans nos esprits. Cette incompréhension qui nous emmène vers la haine. La vengeance. Le doute. Le rejet de la justice. Tout ce que nous humains, nous ne devrions pas. Comment lutter ? Comment accepter ? Comment vivre ? Il est une petite phrase qui dit que « quand un être vous manque, c’est tout l’univers qui est dépeuplé ». Mais quand est-il d’un acte de barbarie ? Quand est-il d’une terreur qui vous assassine le moral chaque minute ? Est-ce que ce sentiment de perte est le même ? Est-ce que l’on peu le quantifier ? Je ne pense pas. La souffrance a ses secrets. La peine a ses atouts. Et même si chacun réagit différemment devant la mort. Que celui qui peu sourire en pensant à notre ange, ose m’affronter. Je crois bien que la plus sage des âmes serait prête au pire devant un rire d’indifférence. Tout comme la mienne… »

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4 juin 2010 5 04 /06 /juin /2010 07:26

« Installée derrière son ordi, elle avait décidé de s’octroyer une recherche d’une soirée accompagnée. Un ami. Un inconnu. Une amie. Une inconnue. Peu importe. Sur les sites d’amitié, on trouve de tout. Bon ok faut faire attention aux barjos mais sinon c’est le meilleur endroit pour discuter. Vu qu’elle ne boit pas, elle n’ira pas écumer les bars. Vu qu’elle ne fume pas, elle ne peu pas accoster. Vu qu’elle n’aime pas qu’on la touche, elle ne veut pas provoquer. Compliquée la fille… Donc, la v’la sur le site. Ça rame grave mais ça va. Rigolo de se découvrir un voisin pour discuter. Le sourire revient. Rigolo de trouver des femmes aussi avec qui ça fait du bien de parler de sa peine. La où ça a commencé à être moins drôle c’est quand il est revenu à la charge. Msn vert. Le cœur par terre. Il revient. Mais pour quoi faire ? La traumatiser encore ? Lui imposer son choix ? Ses pensées ? Sa torture ? Des phrases raisonnent… Je ne t’aime pas. Je préfère arrêter pour ne pas te faire souffrir plus tard. On a deux caractères forts, ça ne marchera pas. J’aime ma femme. Je te manque ? Je ne me peux pas répondre à cette question. La conversation passe en boucle. Il ne veut pas d’elle. Il veut rester son ami. Mais c’est impossible. Elle ne pourra jamais. Jamais il ne devra se présenter devant elle si ce n’est pas pour l’aimer. Jamais il ne devra s’il ne veut pas voir cette souffrance dans son cœur. Le temps adoucit mais n’efface pas. Jamais… »

 

« Les murs se rapprochent. Son esprit va exploser. Son cœur continue de saigner. Rien ne la guérit de lui. Elle a besoin de partir. Les mots font mal à ceux qui l’aiment. Ceux qui l’aiment joyeuse. Gaie. Souriante. Pleine de vie. Mais il a tout brisé. Et il s’en fou. Il ne voit rien. Comment accepter de rester dans la souffrance ? C’est impossible. Il faut qu’elle se reprenne même s’il dit que c’est plus l’aimer. C’est faux. L’amour ne se commande pas. Elle ne peut pas rester triste. Elle doit avancer. Voir du monde. S’amuser. S’extérioriser. Quitte à s’abandonner ailleurs. Elle ne peut pas accepter de l’attendre alors qu’il lui dit qu’il ne veut pas d’elle. Pourquoi dit-il ça ? Ça ne va pas ensemble ! On ne peu pas obliger quelqu’un à souffrir autant. Et lui dire de ne pas essayer de remonter la pente. C’est inhumain. Il devrait savoir que jamais elle ne l’oubliera. Que son cœur est ainsi fait. Mais qu’elle ne peut pas se laisser mourir. Bien sur elle y a pensé. Plusieurs fois. Mais la lâcheté ne résous rien. Elle va essayer d’aller de l’avant. Sans lui. Annihiler son pouvoir sur elle ne sera pas possible mais elle va essayer. Encore et encore. Jusqu’à plus pleurer… »

 

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