« Toc. Je flotte. Heureuse. Charmée, je tombe. Ivresse sublime qui me permet de te toucher. T’explorer. Te savourer. Toi. L’homme de mes rêves. Le corps de mes envies pécheresses. Doucement, je t’explore. Affine ma direction de ton menton à ton torse. Supplie de l’aide pour ne pas me perdre. Grossi de suffisance à l’approche de mes consœurs et te déguste. Tes poils me chatouillent. Tes muscles vallonnent le chemin de mon désir. J’halète. Epuisée de la distance qui me sépare de ton bâtonnier hardent. Cette montagne de bienfait que tu offres à une autre. Moi qui te convoite tant. Moi qui ne pourrais jamais jouir de ta force. De ta virilité si envoutante. Je faiblis encore, happée par cette serviette de malheur qui anéantit mes espoirs de lécher ton sexe. Mais non, c’est un leurre. Elle m’entraine, si près… Hummm… merci jolie étoffe de me permettre enfin de savourer les caresses de cet humain si convoité. Cet homme diaboliquement beau qui a pour seule virilité, celle de faire tourner la tête à une toute petite goutte d’eau... »