« Avec tes yeux de merlan frit, tu me regardes.
Qu’est ce que t’as, tu fais la gueule ?
Ah non, tu fais le mâle… le mâle suprême.
Celui qui convoite. Chasse. Domine. Ensorcèle.
Ignare de ta dextérité à capturer les donzelles, je look en toi.
Furtivement. Lascivement puis carrément. C’est que ton jeu est fascinant.
Ensorcelant même ! Une parade de vautour avec un regard de braise.
Un fin limier sans artifice si ce n’est lui. Enfin toi…
Humm… que tu es beau. Limite, je succomberais moi aussi
Si je n’étais pas déjà été à tes pieds.
Moi frêle tong qui cajole tes orteils et dont tu n’accordes un coup d’œil que,
Quand tu sème ma moitié… Sacré mâle étourdit ! »